Ouvrages hydrauliques
Les nombreux ouvrages hydrauliques sont les témoins du travail de l’homme sur l’assèchement de nos marais.
A NE PAS MANQUER
- Les portes du chapitre (1740)
sont installées à l’embouchure du canal de Luçon au XVIIIe siècle par le Chapitre cathédrale. Ces portes marines sont destinées à maintenir un niveau d’eau constant dans les canaux pour favoriser la navigation vers le port de Luçon.
- Les portes de la Varenne (deuxième moitié du XVIIe siècle),
figurent parmi les dernières portes à flot du secteur – elles se ferment sous la pression de l’eau de mer à chaque marée montante et se rouvrent sous la pression de l’eau douce à chaque marée descendante. Elles ont été rénovées en 2011.
- Les portes du Chenal Vieux (1889),
élevées dans la digue de protection de la Prise des Wagons, cette vanne se compose d’une porte en bois manœuvrée par une crémaillère. Les murs de soutènement sont en pierre de taille, le chapeau est en béton.
- L’écluse de la Pointe aux Herbes (1880).
Un siècle et demi après l’installation des portes du chapitre, le recul de la mer et la poldérisation nécessitent la construction d’une grande écluse à sas à trois kilomètres en aval, à la Pointe aux Herbes. En raison de la disparition de la navigation commerciale, elle est ensuite remplacée par une simple vanne.
sont installées à l’embouchure du canal de Luçon au XVIIIe siècle par le Chapitre cathédrale. Ces portes marines sont destinées à maintenir un niveau d’eau constant dans les canaux pour favoriser la navigation vers le port de Luçon.
figurent parmi les dernières portes à flot du secteur – elles se ferment sous la pression de l’eau de mer à chaque marée montante et se rouvrent sous la pression de l’eau douce à chaque marée descendante. Elles ont été rénovées en 2011.
élevées dans la digue de protection de la Prise des Wagons, cette vanne se compose d’une porte en bois manœuvrée par une crémaillère. Les murs de soutènement sont en pierre de taille, le chapeau est en béton.
Un siècle et demi après l’installation des portes du chapitre, le recul de la mer et la poldérisation nécessitent la construction d’une grande écluse à sas à trois kilomètres en aval, à la Pointe aux Herbes. En raison de la disparition de la navigation commerciale, elle est ensuite remplacée par une simple vanne.